Un film c’est avant tout un ou plusieurs réalisateurs !

Réalisateur du film : LE PRINTEMPS DES RENNES
À la fin des années 50 Pierre Marc, 70 ans, marié et père de deux garçons à Prémanon dans le Haut-Jura français, s’initie à l’ethnographie arctique sous la direction de Jean Malaurie à l’École Pratique des Hautes Etudes de Paris puis partage seul (à l’âge de vingt ans), pendant une année, la vie des Sami éleveurs de rennes, notamment avec la «siida» de la famille Sara, apparentée avec Nils Henrik Sara. Avec les images prises sur place, il réalise à l’époque pour le cinéma un cout-métrage sur leurs migrations ainsi que le film «Laponie», présenté à la salle Pleyel à Paris. Il publie «Nomades et rennes de Laponie» (éd. L’École des Loisirs) et mène pendant vingt ans une expérience concluante d’introduction du renne dans le Jura, département d’origine de Paul-Emile Victor. Affinités boréales et jurassiennes qui aboutiront à la croisée des chemins des deux hommes. De leurs rencontres, naissent une solide amitié et un projet commun : ouvrir un musée polaire en France. C’est ainsi qu’en 1987, Paul-Emile Victor confie ses collections et archives personnelles à Pierre Marc qui réalisera dans le Jura le premier musée français consacré à l’exploration polaire. Aujourd’hui, Pierre Marc consacre une grande partie de son temps à l’écriture de ses romans et essais.

Réalisateur du film : LE PRINTEMPS DES RENNES
Après des études en Egyptologie, Assyriologie et Archéologie Préhistorique terminés en 2002 (Faculté des Lettres-Université de Genève), Omar Agustoni a décidé de suivre son rêve: voyager caméra à la main pour raconter l’histoire d’ethnies oubliées.
Il entreprend une formation de prise de vue et montage aux StudiosMédias Unis à Genève et a réalisé depuis plus d’une dizaines de documentaires dont : ARCHEOLOGICAL BUSINESS (52’min, « Mention spéciale » au Festival du Film d’Archéologie de Nyon), LE SOUFISME: LAVOIE VERS LA PAIX (RTS), VOYAGE A LA RENCONTRE DES COPTES D’EGYPTE(60’min., RTS), LE CHEMIN DU CŒUR– CROYANCES TOGOLIASES(RTS), DEZIL DES SEYCHELLES, CAMBODGE – ENTRE GUERRE ET CROYANCES (RTS), LES PERES DU DESERT – MONASTERES COPTES ORTHODOXE EN EGYPTE (30’min., France Télévision 2, TF2) entre d’autres.
En décembre 2015, avec l’étroite collaboration de l’ami et écrivain jurassien Pierre Marc, naît leur nouveau documentaire, LE PRINTEMPS DES RENNES (52’min), produit par Jump Cut Production (Genève) avec la co-production de la RTS.

Réalisatrice du film : LOVE IN TRANSIT
Séverine a grandi entre Lyon et Dijon et, après un bac scientifique, elle a d’abord étudié l’économie et le management. Son master en poche, elle bifurque alors vers le journalisme. C’est le film d’Audiard De battre mon cœur s’est arrêté qui lui a donné envie de partir à Munich où elle travaille dans une chaine de télévision régionale.

Réalisateur du film : ANDREE 100 ANS
Titulaire d’un BTS Audiovisuel section Montage, il devient monteur et cadreur au service Audiovisuel du CRDP de Toulouse puis travaille pour FR3.
En 1998, il entre en résidence d’écriture documentaire à Lussas.
En plus de ses propres réalisations, il travaille comme formateur dans les ateliers cinéma de Ciné-ressources 71.

Réalisatrice du film : UNE FERME ENTRE CHIEN ET LOUP
Journaliste, vidéaste et photographe de formation, Chantale Anciaux a travaillé comme reporter au Vif/L’Express. Auteur d’ouvrages consacrés aux auteurs et aux victimes de maltraitance (« Blessures d’enfance ») et au centenaire de la Ligue des droits de l’homme en Belgique (« Les droits humains ici et maintenant »), elle participe aussi au Programme européen d’appui au développement démocratique en Afrique de l’Ouest. Professeur en économie politique et en atelier pluridisciplinaire de narration à l’ERG (Ecole de Recherche Graphique-St Luc) à Bruxelles, Chantale Anciaux s’est intéressée à ses voisins proches qu’elle a filmés et dessinés durant deux années pour garder les traces de leur ferme artisanale condamnée à disparaître.

Réalisateur du film : L’ESPAGNE EN HÉRITAGE
Guillaume Mazeline a d’abord été assistant réalisateur de documentaire puis a monté une vingtaine de films et réalisé six documentaires traitant entre autre de l’exil, notamment lié à l’immigration espagnole et portugaise.

Réalisateur du film : UNE SIMPLE VISITE
Il a réalisé plusieurs reportages,, En 2007 il a suivi des formations en réalisation en cinéma. et documentaire. Et en 2009 il a réalisé son premier film. le film documentaire « Une simple visite » (20 min).
Son deuxième en 2011, « Tajmaat face aux changement » complété en 2013, aborde le thème de la disparition de l’assemblée traditionnelle dans un village.
Son troisième film, fini en 2014, intitulé « la présence de l’absent » a été projeté au MUCEM à Marseille.

Réalisateur du film : Le choix des autres
Pierre-Julien Quiers, 50 ans, journaliste à France 3 a également beaucoup travaillé pour le compte de l’ONU en Asie, et Afrique. A propos du Choix des autres », il dit : Cela fait des années que je travaille sur la question des réfugiés, en Asie, en Afrique. C’est la première fois que j’accorde au temps sa juste place. Y aller, mais revenir, encore et encore….Pour mieux comprendre, pour nouer de véritable liens. Je ne parle arabe, Selim ne parle pas français ou anglais. Tous les mois on se donne des nouvelles whatsap par photos interposées. Leurs histoires de paysan, leur exode, des membres de ma famille l’ont vécu à leur manière par le passé. Nous sommes, je crois, entrés un peu dans leur vie, ils sont entrés beaucoup dans la mienne.

Réalisatrice du film : Le choix des autres
Séverine Vanel, 39 ans. Depuis 15 ans, elle s’est particulièrement intéressée à des films sur les droits de l’homme et sur les questions humanitaire.
A propos du « Choix des Autres », elle dit : » Ce qui m’intéresse, c’est de travailler sur la notion de réfugiés pour arriver à décaler notre regard. Et puis je suis tombée amoureuse de cette famille. J’aime cette connivence qui s’est crée avec Leila quand nous nous retrouvons toutes les deux derrière un pan de tissus de la tente et que j’ai du mal à trouver où accrocher son micro. Malgré des clivages évidents, j’aime aussi le rapport d’égal à égal, que je ressens quand nous parlons avec les membres de la famille ».

Réalisateur du film : Les vielles bobines
Âgé d’une quarantaine d’années, Jean-Baptiste Benoit habite à Besançon en Bourgogne-Franche-Comté. A la fois réalisateur et monteur de films documentaires, il est le co-réalisateur du film les vielles bobines

Réalisateur du film : Les vielles bobines
Jean-Lous Vuillermoz est le co-réalisateur du film les Vieilles Bobines qui est son deuxième film. Agé d’une soixantaine d’années, ce metteur en scène de théatre et dramaturge vit dans le Jura.

Réalisateur du film : Super 8 mon amour
Rémy Batteault est un réalisateur, documentariste, scénariste et critique de films français. Il a par exemple réalisé « Super 8 mon amour », « Libres sur l’eau » ou encore « Les Fantômes du Mont Blanc ». Il est également co-rédacteur en chef de l’e-magazine Regard en coulisse.

Réalisateur du film : HENRI BROCH : Le dernier Hun blond
Dans le milieu des années 80, Bruno LE JEAN démarre sur Radio 7 et France Inter.
Puis, sans raison apparente, il se met à réaliser. Tout s’enchaîne : clips (Bernard Lavilliers, Renaud), pubs, docs, sketches, l’unique téléfilm des Guignols, Fallait pas l’inviter, Groland…!?
Aux dernières nouvelles, il vient de tourner un téléfilm pour France 3 (Un petit bout de France), son film documentaire « Les Fils du vent », sur le monde Manouche, est sorti en salles le 10 Octobre 2012 et a obtenu le prix du patrimoine Henri Langlois 2012 ainsi que la plume d’or du festival l’Ici et l’Ailleurs la même année !
Il continue de fricoter avec la Présipauté du Groland.

Réalisatrice du film : JUNGWA, L’ÉQUILIBRE ROMPU
Dès son premier séjour au Ladakh, Christiane Mordelet tombe amoureuse de cette région reculée du nord de l’Inde, au cœur de l’Himalaya. Elle réalise alors plusieurs films sur ce pays: Ladakh, Terre des cimes et Mon cheval, ma steppe, ma liberté. En 2006, elle rencontre Stanzin Dorjaï, jeune réalisateur Ladakhi.

Réalisateur du film : JUNGWA, L’ÉQUILIBRE ROMPU
35 ans, cadet d’une famille de 5 enfants d’agriculteurs et éleveurs aux confins du ChangTang, haut plateau à 5 000 mètres d’altitude, passe une grande partie de son enfance et adolescence à garder les yacks et les chèvres «pashmina». Quand un jour il annonce à sa mère son désir de devenir cinéaste, elle le regarde comme un extraterrestre!Il rencontre alors le directeur du S.E.C.M.O.L., ONG ladakhie dont un des buts est d’offrir des scolarisations qualifiantes à des jeunes motivés. Stanzin y passe 7 ans. Ses qualités et ses dons sont remarqués et il bénéficie alors d’une formation en Arts audio-visuels à Dehli où il obtient le grade de Bachelor of Arts.

Réalisatrice du film : BRASSENS ET LA JEANNE
Née à Paimpol, Delphine Deloget obtient une maîtrise d’histoire, puis un DESS de réalisation documentaire. Elle se rend à Paris, où elle exerce le métier de monteuse1 et de réalisatrice.
En 2004 elle réalise À l’ouest de la Mongolie, une quête musicale qu’elle entreprend à cheval à travers les steppes de l’Altaï, avec le compositeur Frédéric Ozanne.
Puis c’est la longue aventure de No London Today, en 2008, plongée en immersion pendant plusieurs mois auprès des sans-papiers de Calais. Delphine va monter le film dans son appartement, avec un banc de montage U-matic énorme, « qui prenait la moitié de mon appartement », se souvient-elle.
Plus récemment, elle enquête sur des Érythréens enlevés au Soudan, et vendus et rançonnés par des Bédouins, dans le désert du Sinaï, qui vont parfois jusqu’à pratiquer la torture…
Le film qui en résulte, Voyage en barbarie, lui permet d’obtenir le prix Albert-Londres en 2015.
De Delphine Deloget, on pourrait aussi raconter les envies de fiction, elle qui a déjà tourné Le Père Noël et le Cow-boy, et qui se verrait bien travailler sur un long-métrage. Ou encore le beau travail autour de la figure de Brassens et la Jeanne.
Delphine Deloget n’a pas fini de nous raconter de belles histoires…

Réalisateur du film : L’ESPAGNE EN HÉRITAGE
Jacquie Chavance travaille depuis une vingtaine d’années dans le documentaire comme directrice de production et en fiction comme auteur et consultante. Elle a développé des collections et réalisé plusieurs documentaires notamment sur l’immigration politique espagnole.

Réalisatrice du film : FREEDOM
Après un début de carrière entre danse, théâtre et radio, Muriel Barra produit une émission de sports extrêmes pour la télévision puis dirige la production d’une web TV culturelle en 2000 à Paris.
En 2004, consciente du formidable outil de connaissance et de découverte qu’est la télévision, elle décide d’apporter une petite pierre à l’édifice, en mettant sa profession au service d’une évolution des mentalités pour une société plus responsable.
Elle crée alors Lato Sensu Productions avec l’objectif de produire des documentaires engagés sur des thématiques sociales et environnementales.
Début 2007, alors que le terme « développement durable » est déjà récupéré à des fins marketing, elle est convaincue que le temps n’est plus à la prise de conscience mais bien à l’action. En 2008, elle initie et coproduit alors la collection documentaire franco-canadienne « Artisans du Changement », une série de portraits d’entrepreneurs témoins d’une nouvelle économie, plus respectueuse de l’homme et de son environnement.
Convaincue de l’impact positif et « porteur d’espoir » de ces films, elle les présente régulièrement dans les milieux scolaires ou dans le monde de l’entreprise. Sa ligne éditoriale de production s’inscrit dans la logique d’une plus grande sensibilisation du public face aux enjeux sociaux, économiques et environnementaux de notre temps.

Réalisateur du film : FREEDOM
Agé de 40 ans, ce journaliste de formation a toujours eu pour passion les rapaces. Après un bref passage dans la presse régionale, il se décide à franchir le pas et créé à 24 ans son propre parc animalier consacré aux rapaces : « Les aigles du Léman » en Haute-Savoie. Fauconnier professionnel depuis ses 18 ans, il a été le plus jeune titulaire du certificat de capacité pour la présentation au public de rapaces en France à l’âge de 22 ans. Actuellement, c’est près de 150 rapaces qui sont hébergés dans le Parc qu’il a créé.
Afin de sensibiliser le public à la conservation des rapaces, il a réalisé deux exploits sans précédents :
– décollage du sommet du Mont blanc en parapente avec un de ses aigles
– traversée de la Manche, toujours en parapente, avec son aigle après s’être fait larguer tous les deux depuis un hélicoptère à 4000 m d’altitude.

Réalisateur du film : Une vie de cirque
Passionné de cinéma dès mon enfance, je me suis dirigé vers la réalisation auprès de l’université Lumière. Tourné vers la fiction, je me suis ensuite vite intéressé au genre documentaire et au discours des arts au sein de ce dernier . C’est cette approche qui a motivé mon premier documentaire : Une vie de cirque

Réalisateurs du film : LES CONSCRITS OU AVOIR 20 ANS EN BRESSE
Gilbert Loreaux, diplômé de l’Ecole Nationale de Photo et Cinéma Louis Lumière Promo 1966-68. Opérateur de prises de vues long métrage entre 1968 et 1980 Gilbert Loreaux travaille avec Jérôme Laperouza, Claude Lelouch et Maurice Pialat entre autres, mais plutôt que les studios de cinéma ce sont les grands espaces qui le fascinent. Gilbert Loreaux rêve de planter sa caméra sur tous les continents. La rencontre avec les frères Janssen sera déterminante pour sa carrière et comblera sa soif de découverte.
Gilbert Loreaux a sillonné la planète entière du Japon au désert du Ténéré en passant par la Laponie, l’Himalaya et même l’Antarctique avec Jean-Louis Etinne, avant de poser ses valises à Saint Martin en Bresse en 2002.
Il crée avec Violaine Labrusse Les films de la Guyotte et à partir de 2005 un festival de films documentaires :L’ici et l’ailleurs. Depuis leur installation en Bresse Gilbert Loreaux et Violaine Labrusse ont réalisé une série
de documentaires sur les gens d’ici en coproduction avec France3 Bourgogne : Gens de Saône, Jour de pêche, Le Temps du Muguet, Une année particulière, et Le renard et nous.

